Sunday, February 03, 2008

Coal Ash Is More Radioactive than Nuclear Waste

This might not be intuitive, but coal ash is more radioactive than nuclear waste. See this recent account by Scientific American. Two exerts:
"Among the surprising conclusions: the waste produced by coal plants is actually more radioactive than that generated by their nuclear counterparts. In fact, fly ash—a by-product from burning coal for power—contains up to 100 times more radiation than nuclear waste."

But don't panic just yet:
"The question boils down to the accumulating impacts of daily incremental pollution from burning coal or the small risk but catastrophic consequences of even one nuclear meltdown. "I suspect we'll hear more about this rivalry," Finkelman says. "More coal will be mined in the future. And those ignorant of the issues, or those who have a vested interest in other forms of energy, may be tempted to raise these issues again.""

Les marques maison des supermarchés

Voici un extrait d'un courriel. Le débat était à savoir s'il est préférable, d'un point de vue global, d'acheter des marques de commerce ou des marques maisons d'épicerie.

"Il s'agit d'une enquête réalisée par l'émission de Radio-Canada nommée "L'épicerie". Vous trouverez le texte complet sur :
http://www.radio-canada.ca/actualite/lepicerie/docArchives/2003/02/07/enquete.html

Ce que je conclus en gros de ma lecture des résultats de l'enquête, c'est que les marques d'épicerie, comme "Choix du président", "Sélection mérite", etc., sont non-seulement plus écologiques mais en plus rapporte plus d'argent au producteur, qui est souvent le même que celle d'une marque commerciale. Cela semble confirmer les grandes lignes de ce que je croyais.

Un court extrait :
"La marque maison bénéficie d'un bon avantage sur le plan monétaire, nous dit M. Dufour : « Il faut le dire : dans une marque maison, vous venez d'enlever une proportion quand même importante de coûts qui se situe, selon la catégorie, entre 15 % et 40 % de coûts associés au programme marketing, à l'emballage ou autre ». Ce bénéfice se traduit par une marge de profit en moyenne deux fois plus élevée sur la vente de produits maison que sur la vente de marques nationales."

Puisqu'il y a notamment moins de ressources allouées au marketing, le produit est moins dispendieux et plus d'argent peut aller au producteur (lire l'article à ce sujet, notamment "Mais quel est l'avantage pour une compagnie de fournir ses propres compétiteurs ? « Dans bien des cas, c'est de combler une chaîne de production,répond M. Caron. Ils produisent plus. Ils veulent aller chercher un volume additionnel. »").


Bref. Évidemment, le premier choix serait toujours de favoriser le local, à travers par exemple l'agriculture soutenue par le communauté, aller à la petite boulangerie du quartier, la petite fruiterie, choisir des produits du Québec, etc. Par contre, entre un produit "Delmonte" ou "Nestlé" par exemple, je n'hésiterai pas du tout à favoriser la marque maison d'une grosse chaîne !"


Update 080204, extrait d'un courriel qui a suivi:
"Je crois que c'est faux de croire qu'on "perd un choix" entre les grandes marques et les marques d'épicerie. Je crois que les grandes marques (e.g. Nestlé, Kraft, Delmonte, etc) ont des politiques [et conditions] envers les producteurs avec qui ils font affaire qui sont probablement pires que les politiques des marques d'épicerie.

Cependant, je suis tout à fait d'accord pour dire qu'on réduit les choix lorsqu'on a le choix entre une petite marque (ou le producteur local) et une marque d'épicerie. Dans le cas où les petites marques sont présentes (et si en plus elles sont locales), alors nous avons avantage à la préférer et laisser de côté la marque d'épicerie !

En d'autres mots, ça dépend à quoi on compare !

"pire" <----------------------------------> "mieux"
Grande marque <--> marque d'épicerie <--> petite marque ou producteur local"